Chercheuse ou chercheur

Titres

• Professeur adjoint de clinique, Département de pathologie et biologie cellulaire, Université de Montréal, 2007.

• PhD en cancérologie expérimentale, École de cancérologie, Université Paris XI, 2009.
• MD, Université de Grenoble, 1999.
• Diplôme d'études spécialisées en anatomie et cytologie pathologique, Université de Grenoble, 1999.
• Spécialisation en biologie cellulaire et moléculaire du développement, Université Paris XI, 1998.
• Maîtrise en anatomie et cytologie pathologique, Université de Reims, 1990.

Suite à sa formation à l’Université de Grenoble en France où il a obtenu un doctorat en médecine en 1999 et un diplôme d’études spécialisées en pathologie la même année, Hervé Sartelet a complété un assistanat (fellowship) en pathologie chirurgicale au CHU de Reims en France. Poursuivant sa formation, il obtient successivement un diplôme inter-universitaire de foeto-pathologie (2000), pathologie rénale (2003) et oncologie pédiatrique (2005), ses trois domaines de prédilection.

Parallèlement à cette formation médicale, il obtient une maîtrise en biologie cellulaire et moléculaire du développement à l’Université Paris XI (1998), puis un doctorat en cancérologie expérimentale dans la même faculté en 2009. En 2002, il devient professeur assistant à l’Université de Reims Champagne-Ardennes, France. En 2005, il rejoint le CHU Sainte-Justine en temps que pathologiste. Depuis 2007, il est professeur adjoint de clinique au Département de pathologie et biologie cellulaire à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.

Ses tâches d’enseignement comprennent le cours de pathologie générale offert aux étudiants inscrits en physiothérapie (39 heures) dont il est le responsable. Il intervient aussi dans d’autres cours pour les étudiants au baccalauréat de sciences biomédicales (6 heures) et en médecine dentaire (4 heures, pathologie spécialisée).

Le sujet principal de recherche du Dr Sartelet porte sur l’étude des facteurs d’agressivité et sur le développement de nouvelles thérapeutiques dans les tumeurs solides de l’enfant.

Ses intérêts de recherche sont axés sur :

• le neuroblastome, l’une des tumeurs les plus fréquentes chez l’enfant;
• l’étude de facteurs pronostiques dans cette tumeur, devenant ainsi des cibles potentielles de traitement;
• l’utilisation de modèles in vitro et in vivo (collaboration avec l’équipe d’immunologie) de neuroblastome permettant ainsi de tester de nouveaux traitements;
• l’étude de cellules souches cancéreuses dans les tumeurs solides de l’enfant.